Une syzygie du cœur, du corps et de l'esprit

Les androïdes lyonnais rêvent-ils d’aurores orangées ?

C’était le dernier jour de mars, au jardin des curiosités. La plaine était habitée par un voile orangé. Ce dernier colorait un ciel sans nuage. Puis lorsque le soleil vint à surgir de derrière les montagnes, les sommets des tours historiques se sont vêtus de leur tenue ardente.

2 réponses

  1. Grand fan de vos photos et de nature plutôt franche je me permets de faire remarquer que ces photos reflètent plutôt une impression négative de poussière et de pollution. Je suis plutôt déçu de ne pas trouver le sentiment romantique que j’espérai y voir refléter. Peut-être trop de noir dans les couleur ce qui ne laisse pas la place à l’orange désiré. Il est long le chemin qui mène à la perfection. Bon courage.

    1. Merci pour ton retour et ton ressenti. Et en fait, tu as très bien ressenti ce que j’ai voulu montrer. C’est une vision totalement dystopique de notre ville et j’ai voulu – d’ailleurs le titre de l’article y fait référence – faire un clin d’oeil au futur peint par Philippe K. Dick.

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