Nous n’aurons donc
Pas eu d’été.
Pas d’histoire à conter,
Ni de récits à l’imparfait.
L’automne s’invite aux fenêtres.
Portés par les vagues
Qui se brisent,
Les déserts sur la grève.
Et orphelins des coquillages,
Les échos solitaires.
Nous n’aurons donc
Pas eu d’été.
Pas d’histoire à conter,
Ni de récits à l’imparfait.
L’automne s’invite aux fenêtres.
Portés par les vagues
Qui se brisent,
Les déserts sur la grève.
Et orphelins des coquillages,
Les échos solitaires.