Valse atomique

Les vents secs d’Oranie
Soufflent des poussières ocres qui
Se glissent dans tes cheveux longs.
Ils portent les rumeurs d’un lieu
Où le temps n’est plus
Une prison sans mur.
Où les histoires succèdent
Aux promesses.
Et où les larmes versées ont donné
Leur soleil aux peuples de l’Univers

Commentaires

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *