Une syzygie du cœur, du corps et de l'esprit

Les rugissants

L’éternité, n’est-ce pas ce néant
Qui habite insidieusement
Ton absence ?
Dès lors, j’aspire plutôt à l’infini ;
Celui qui s’incarne
Sur le flot de tes mots rugissants
Pour peupler ton silence.

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