Une syzygie du cœur, du corps et de l'esprit

Nos retenues se sont tues

Il y a les « je t’aime » que je porte
À tes yeux.
Les « je t’aime » que j’accroche
À tes lèvres.
Les « je t’aime » que je souffle
Dans ton cou.
Et les « je t’aime » qui jamais
N’ébranleront le silence.

 

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